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Close Œuvre maîtresse de la culture politique espagnole, mais largement méconnue, Oligarchie et caciquisme ne saurait se réduire au « chirurgien de fer » invoqué par Costa pour guérir les plaies de l’Espagne, et dont Miguel Primo de Rivera s’est voulu l’incarnation, ni aux formules («pain et école», européanisation) dont se sont réclamés les pères fondateurs de la Première République. Véritable réquisitoire contre la monarchie de la Restauration (1874-1923), les deux conférences prononcées à l’Ateneo de Madrid en 1901 dévoilent avec une lucidité emportée les tares du régime parlementaire de l’époque : oligarchie, corruption électorale, clientélisme. Mais elles constituent aussi l’acte final d’une tentative visant à confier le pouvoir à ceux qui maîtrisent le savoir – ceux que l’on commence alors à appeler les « intellectuels ».

Oligarchie et caciquisme comme forme actuelle de gouvernement en Espagne

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urgence et modalités d'un changement

Œuvre maîtresse de la culture politique espagnole, mais largement méconnue, Oligarchie et caciquisme ne saurait se réduire au « chirurgien de fer » invoqué par Costa pour guérir les plaies de l’Espagne, et dont Miguel Primo de Rivera s’

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Auteur(s): Costa, JoaquinSarlin, Simon

Editeur: Editions Rue d'ULM

Année de Publication: 2009

pages: 256

Langue: Français

ISBN: 978-2-7288-0429-0

eISBN: 978-2-7288-3759-5

Œuvre maîtresse de la culture politique espagnole, mais largement méconnue, Oligarchie et caciquisme ne saurait se réduire au « chirurgien de fer » invoqué par Costa pour guérir les plaies de l’Espagne, et dont Miguel Primo de Rivera s’
Œuvre maîtresse de la culture politique espagnole, mais largement méconnue, Oligarchie et caciquisme ne saurait se réduire au « chirurgien de fer » invoqué par Costa pour guérir les plaies de l’Espagne, et dont Miguel Primo de Rivera s’est voulu l’incarnation, ni aux formules («pain et école», européanisation) dont se sont réclamés les pères fondateurs de la Première République. Véritable réquisitoire contre la monarchie de la Restauration (1874-1923), les deux conférences prononcées à l’Ateneo de Madrid en 1901 dévoilent avec une lucidité emportée les tares du régime parlementaire de l’époque : oligarchie, corruption électorale, clientélisme. Mais elles constituent aussi l’acte final d’une tentative visant à confier le pouvoir à ceux qui maîtrisent le savoir – ceux que l’on commence alors à appeler les « intellectuels ».

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